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mercredi, 30 avril 2008

CLOCHETTES

Ce matin, en passant à la caisse de mon supermarché, j'ai eu droit au petit bouquet porte bonheur gratuit.

Je vous souhaite une BONNE FETE.

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mardi, 29 avril 2008

ON N'EST PAS SERIEUX QUAND ON A 17 ANS (Journal de Juliette, lycéenne n° 26)

En ce mardi de printemps, les professeurs sont absents. Les élèves vont en permanence pendant 3 heures. Les devoirs sont déjà faits ce qui permet à Aurélie et Juliette de discuter avec Jean Claude et Alain au sujet de la non-violence et du flirt. Jean Claude avoue à Juliette qu'il la trouve sérieuse. Toute sa vie, elle entendra ce qualificatif à son sujet. Certains essaieront de la déstabiliser, de la salir mais n'y arriveront pas.

Aurélie dit en riant qu'elle flirtera cet après midi entre 14 h et 16 h. Alain répond en riant : "Ah ! c'est la meilleure celle-là !".

Et à 14 h, n'ayant pas oublié, il va la trouver et lui demande si elle va flirter. Aurélie lui répond : "c'est dégouttant !". Et ils se mettent à rire.

Le lendemain matin à 8 heures précises, un garçon s'avance vers Juliette et lui dit : "je me présente : Thierry ! Es-tu libre dimanche pour sortir avec moi ?".

Juliette lui répond : "oui, mais je ne veux pas...".

Pourquoi ce sont toujours les garçons qui ne l'intéressent pas qui l'invitent à sortir le week end ?

Depuis plusieurs semaines, Juliette est inquiète car elle voit de plus en plus souvent Alain avec une fille blonde-rousse aux cheveux longs. Juliette la trouve vulgaire par moments. Elle n'a pas supporté un jour que le surveillant lui demande de se mettre en rang dans la cour comme les autres. Elle a alors marmonné qu'elle emmerdait ce surveillant. Mais que fait Alain avec cette fille pas très féminine ni distinguée ?

jeudi, 24 avril 2008

LES PROFESSEURS, LES AMIES, LES AMIS (Journal de Juliette, Lycéenne n° 25)

Samedi matin, en cours d'économie, le professeur demande à Alain, en regardant ses feuilles de cours éparpillées et remplies de dessins : "tu t'y retrouveras là-dedans ?".

Alain répond : "De toute façon, j'apprends sur le livre ...".

En heure de permanence, Juliette s'apprête à s'asseoir à côté de Dominique, un garçon de section littéraire, quand Alain lui demande de lui laisser sa place. Elle accepte volontiers en souriant. Il la remercie simplement.

En cours de sport, elle discute avec Lise qui est toujours pensionnaire. Elles sont un peu moins souvent ensemble, Juliette étant externe et habitant près du lycée.

Ce vendredi, Juliette est heureuse : elle a récolté 4 bonnes notes à ses bilans et, en plus, le soleil brille !

Le lendemain, Aurélie lui montre son petit carnet intime. Juliette lui redonne du courage car Aurélie est un peu pessimiste depuis une semaine concernant la relation amoureuse qu'elle entretien avec "Chocorêve", le surveillant.

Elle recopie quelques paroles d'une chanson entendue à la radio ce week end : "nous pourrions passer notre vie à nous regarder sourire, et après, et après ? avec le temps qui s'étire, nous baillons les lithanies du regret, du regret, pour étouffer comme un reproche de nos pauvres coeurs qui s'accordent pour demain, pour demain ; j'ai encore au fond de mes poches un peu d'amour qui s'effiloche, prends ma main, prends ma main, allez viens ..."

mercredi, 23 avril 2008

RENCONTRE

Vendredi dernier, j'ai rencontré Irène, blogueuse et écrivain, que j'avais contactée avant de partir en vacances.

Elle habite à 15 minutes de chez mes parents. Je lui téléphone dès le matin pour annoncer ma visite et convenir d'un rendez-vous. 

Je sonne à sa porte avec un de ses livres à la main, "Les Contes de Mamirène", livre que j'avais commandé en décembre pour l'offrir à ma petite fille.

Nous nous embrassons, je lui présente mon mari et ma petite fille. Irène nous propose de boire un café ou un jus de fruit et nous discutons pendant une demi-heure. Elle prend son stylo, dédicace le petit livre de contes à ma petite fille qui ouvre de grands yeux en lisant les mots gentils qu'elle griffonne sur la première page à son intention.

La rencontre fut courte mais très chaleureuse. Elle m'a présenté la couverture de son nouvel ouvrage : "Quatre générations pour un pardon" qu'elle a écrit en un mois et l'article avec photo du journal local où elle parle de son travail de plume. En sortant de chez elle, nous nous sommes rendus chez le marchand de journaux le plus proche afin d'acheter ce journal et garder un souvenir d'Irène, déjà célèbre !!!

mardi, 22 avril 2008

VASES COMMUNICANTS

Faire le vide des mots

Qui assaillent mon cerveau,

Un besoin mais les vases

Communicants de la vie

A chaque nouvelle phrase

Se vident puis se remplissent

Comme les fleuves dans leur lit

Courent vers la mer et glissent

Sans jamais disparaître

Les mots ne font que renaître.

lundi, 21 avril 2008

UNE ESCAPADE A LILLE

Nous partons pour LILLE après avoir quitté mon beau-père.

Nous traversons la DEULE et tournons à gauche. Nous nous arrêtons devant un petit immeuble. Nous prenons deux photos de la fenêtre de l'appartement que nous avions loué pendant 2 ans, au début de notre mariage.

Nous nous dirigeons ensuite vers les fortifications VAUBAN. Nous essayons de retrouver la Pizzeria où nous mangions certains soirs. Ensuite, direction le centre ville par la rue Solférino.

Il nous faut trouver un parking pour pouvoir y laisser notre voiture.

Nous tournons, retournons, sans pouvoir trouver l'entrée de ce parking appelé Le Nouveau Siècle (ancien diplodocus). Nous en profitons pour prendre de nouvelles photos de maisons typiques de la région, en surveillant qu'aucun agent de police ne se trouve dans le quartier. Nous sommes près du Tribunal. Enfin, nous arrivons à l'entrée du parking souterrain où nous laissons la voiture.

Place Rihour, sous le soleil, nous posons devant les jets d'eau pour deux autres photos. Nous nous dirigeons ensuite vers une petite rue où nous achetons des tee shirts ch'tis à offrir à toute la famille dans un magasin que mon mari connaît bien. Nous marchons rue de Béthune et nous retrouvons sur la Place du Théatre. Nous prenons quelques photos de maisons anciennes, du Beffroi, de la devanture d'un restaurant proposant la fameuse Flamiche au Maroilles et quelques plats typiques de la région.1508024587.jpg

Rue Nationale, je regarde vers Le Printemps et la Banque où j'ai travaillé quelques mois au début de ma carrière professionnelle.

Nous repartons vers la gare où ma petite fille me demande de lui acheter un sac blanc.... Nous entrons chez Tati et montons à l'étage admirer les robes de mariées et de demoiselles d'honneur, ainsi que les sacs. Ma petite fille choisit le sien. Elle a de la chance car il n'en reste qu'un de cette couleur. Comme il lui plait, je passe à la caisse pour payer. Elle est toute contente.

Nous entrons à la FNAC et achetons 2 CD et un DVD. Il nous faut patienter à une des 3 caisses. Ce sont les vacances et les acheteurs sont nombreux en cette période.

Nous décidons ensuite de rentrer après avoir bien marché. Nous récupérons notre voiture et retournons à Lambersart....

jeudi, 10 avril 2008

BLOGS EN VACANCES

Je pars pour une semaine.

Mes blogs seront en pause pendant 10 jours. Vous pouvez relire dans mes archives mes notes anciennes, ou par catégories.

Je vous souhaite, si vous partez également, de passer de bonnes vacances.

Je vous mets une petite citation à méditer pendant tout ce temps :

La puissance et le charme de l'espérance est de contenir toutes les possibilités de plaisir. Elle constitue une sorte de baguette magique transformant toute chose. Les réformateurs ne firent jamais que substituer une espérance à une autre.

(G. LEBON - Les opinions et les croyances)

mardi, 08 avril 2008

LUNDI : JOUR DE LESSIVE

Le lundi était le jour de la lessive pour maman. Elle avait choisi ce jour pour je ne sais quelle raison. Peut être héritée de sa propre mère ? Peut être par commodité quand les machines à laver n'existaient pas encore ?

Quand j'étais toute petite, il est vrai que maman ne possédait pas de machine à laver électrique comme nous en avons à notre époque.

Je me souviens d'une grande bassine contenant de l'eau bouillante, qu'elle posait sur la cuisinière. Elle y mettait les draps, les torchons .... Elle possédait également une "lessiveuse" qui battait le linge et une essoreuse indépendante qui faisait un bruit de moteur en tournant.

Le jour où elle a pu s'acheter une vraie machine à laver, selon le modèle que nous connaissons actuellement, ce fut un grand soulagement. Quand mes parents se sont installés dans la maison où ils vivent encore aujourd'hui, mon père avait planté des grands piquets dans le fond du jardin. Ces piquets longeaient l'allée principale. Il avait tendu entre chacun d'eux des fils solides en plastique afin que maman puisse y mettre ses draps à sécher. Cependant, les jours de pluie, elle les mettaient à l'intérieur, c'est à dire dans la cuisine et la salle à manger.... ce qui n'était pas très pratique ni très esthétique. Plus tard, elle s'est acheté un grand séchoir et faisait la lessive plusieurs fois par semaine. Elle a abandonné alors l'habitude du lundi, seul jour réservé à la lessive.

jeudi, 03 avril 2008

LE MATIN

Se lever de bonne heure le matin

Se préparer une tartine de pain

Regarder le soleil se montrer

Sur la ligne d'horizon

Choisir sa tenue, s'habiller

Regarder en rêvant l'horizon

Pour commencer la journée.

Ecouter les moteurs tourner

Des voitures voisines

Regarder quelques vitrines

Aux couleurs des vacances

Et arriver, quelle chance

A l'heure au bureau.

Les vacances c'est bientôt

La journée pleine de couleurs

Commence dans la bonne humeur.1957335763.jpg

mardi, 01 avril 2008

DANS LA FORET (souvenirs sur un thème proposé par AMBROISE)

Les journées tièdes et ensoleillées nous passions de bons moments dans la forêt.

Les feuilles tombées sur le sol, sous les grands arbres, sentaient bon la nature.

Pendant que Papa et Maman discutaient avec Mamie et Pépé autour d'une table de pique nique, nous partions à la découverte du coin.

Souvent Maman nous appelait en disant de ne pas nous éloigner. Comme Robinson sur son Ile, nous construisions une cabane avec les plus belles branches.

Nous choisissions les plus solides afin qu'elles résistent au poids des feuilles que nous posions au-dessus. Cette cabane ne nous permettait pas de nous tenir debout à l'intérieur mais elle nous semblait bien confortable.

Papa nous racontait que des sangliers passaient ici la nuit comme le jour.

Nous cherchions des traces de leurs passages sur les chemins encore humides. De temps en temps, des craquements de branches au loin se faisaient entendre. Et nous pensions inévitablement à ces bêtes noires que nous avions découvertes dans la bande dessinée offerte à Noël par Mamie, je veux parler de l'histoire de Sylvain et Sylvette, vivant dans une pauvre chaumière dans une forêt, victimes du loup et de ses compères.